Je me suis inspiré d’astuces prises ici de selfbondage pour vivre une expérience. J’avais lu comment s’obliger à garder une couche et faire dedans avec un système de chaîne autour du cou et d’une simple paire de menottes.

Si on pouvait s’obliger à garder une couche, on pouvait sur le même principe s’obliger à être nu. Nu et offert.

A 15 heures, heure de la sieste ou de la plage, je suis allé cacher mon sac en tissu avec les clés de mes menottes, celles de ma cage de chasteté et d’un cadenas. A l’intérieur j’ai ajouté une robe très provocatrice acheté sur le net il y a bien longtemps. La cachette était un buissons épais contre le mur de derrière des sanitaires. Il fallait savoir qu’il y avait un sac pour le trouver.

Je suis revenu à ma tente où je me suis mis nu. Heureusement que j’avais mis ma cage de chasteté avant d’aller cacher le sac de mes trésors où je n’aurais pas pu la mettre tellement j’étais excité. J’ai passé la chaîne autour de mon cou sans la serrer et j’ai fermé le cadenas. Sans l’ouvrir il m’était impossible de retirer ce collier de chaîne. J’ai fait passer les menottes à l’intérieur avant de préparer les inscriptions sur mon corps : Avec un feutre, j’ai écrit « Lope à baiser » sur mon ventre et, tant bien que mal, dans mon dos j’ai fait une flèche en direction de mes fesses. Il était évident que si je tombais sur des gays, je risquais d’avoir des ennuis.

Vers 16 heures, j’étais prêt et monstrueusement excité. Pour ne pas craquer et m’habiller pour aller chercher mon sac et les clés de ma cage de chasteté. J’ai aussitôt passé mes poignets dans les menottes bloquées par le collier de chaîne et je les ai fermées. C’était le 14 septembre 2019, un samedi après la rentré scolaire, je ne pensais pas prendre beaucoup de risques en faisant ça de nuit mais le risque d’être vu, voir plus, existait bel et bien. A cette époque de l’année, au camping naturiste de cap d’Age, il n’y a que des retraités, enfin, c’est ce que je pensais. Il y a finalement aussi des étrangers avec des gamins et ça, je ne l’ai découvert que quand une horrible envie de faire pipi m’a tenaillé.

Soit je faisais dans ma tente, soit je sortais et prenais le risque d’être vu. Si je n’avais pas eu la cage de chasteté, j’aurai pu faire sortir que mon zizi et discrètement faire devant la porte. Alors que je m’apprêtais à sortir, une famille allemande est passée avec deux gamins sur le chemin. Grand frisson ! La tête dehors, j’étais à l’affût du moindre bruit. Je suis sorti précipitamment pour aller m’accroupir derrière ma tente et faire mon pipi. A ce moment là je n’étais pas fier du tout ni excité. J’ai réussi à rentrer dans ma tente sans être vu. Ouf ! Ma monte indiquait 17 heures. J’allais devoir attendre comme ça au moins jusqu’à 22 heures. Pour tuer le temps j’ai essayé de dormir. Dormir attaché m’a toujours excité, j’ai fait des tas de rêves très érotiques. En fait, ce n’était qu’un demi sommeil ponctué de rêve et de frottement...... sur mon matelas pneumatique. A 19h30, j’ai encore eu envie de faire pipi. Je suis parvenu à attendre qu’il fasse nuit pour retourner m’accroupir derrière ma tente.

Jusqu’à 22 heures, ayant vidé ma bouteille d’eau, j’ai picolé de la bière presque chaude. Les mains accrochées au cou, on parvient à boire sans problème. J’étais un peu bourré quand j’ai décidé de tenter ma chance. Il faisait nuit noire, les éclairages de camping permettaient de se déplacer dans une sorte de pénombre sauf sous les lampadaires que je comptais éviter. Par chance, mi-septembre, il y a plein d’emplacements libres pour se cacher. Plusieurs fois j’ai du me cacher derrière des haies pour me rendre aux fameux sanitaires. Les plus chiants ce sont les vélos qui arrivent à des vitesses folles. Ce à quoi je n’avais pas pensé en cachant mon sac, c’est qu’habillé le buisson ne me faisait pas mal, nu, c’était bien différent. En plus, au lieu d’allonger mon bras, là pour attraper mon sac, j’ai du plonger la tête la première avec les fesses dehors. Je me suis griffé le visage et les bras mais j’ai eu mon sac. Un couple de vieux est arrivé. Comme ils pouvaient me voir, je suis parti me cacher en courrant fesses nues avec ma cage de chasteté qui ballottait.

A l’aveugle dans un des emplacements, j’ai réussi à trouver les clés et à me libérer. J’ai enfilé la robe très provocatrice pour cacher les inscriptions sur mon corps avant de faire le chemin du retour. Je me suis fait des peurs mais c’était très excitant. Je le referai un jour en couche.

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